Dans la lutte pour la conquête du gouvernorat de la province du Haut-Katanga, Abel DIUR YAV soutient la candidature de Bavon BANZA en qui il reconnaît des valeurs d’intégrité et capable de redorer le blason terni de cette entité politique.
Son soutien à ce digne fils de la province n’est pas justifié par un quelconque esprit de haine ni d’une quelconque considération à l’égard du gouverneur sortant Jacques KYABULA. Il l’est par le fait qu’il croit dur comme fer que Bavon BANZA est enclin à sortir la province de la léthargie et la médiocrité dans lesquelles elle s’est embourbée pendant cinq ans.
Pour Abel DIUR YAV, le Haut-Katanga mérite un unificateur, rassembleur, bâtisseur ;une personnalité qui viendra mettre fin au clientelisme et la coterie.
Cessez donc de penser que le Bishop Abel DIUR YAV a une dent contre le candidat Jacques KYABULA car pour preuve, sa société empower Africa basée en Afrique du Sud et en RD Congo a accueilli Monsieur Jacques KYABULA et son ministre de l’énergie dans un salon d’affaires organisé par lui et son entreprise pour connecter le Haut-Katanga à des investisseurs capables de résorber la crise en matière d’électricité à travers la fabrication et la fourniture des transformateurs électriques.Au cours de ses salons d’affaires, sa fille Tegra DIUR spécialiste en investissement et relations internationales de l’université de Monach a servi d’interprète à Monsieur le gouverneur Jacques KYABULA, l’accueillant dans son entreprise à Bedfordview. Accueilli aussi par les agents de l’entreprise de Mr DIUR et mis en contact avec des investisseurs sud africains partenaires à son entreprise, il a été traité avec honneur même si le partenariat n’a pas abouti.
En soutenant la candidature de Monsieur Bavon BANZA, monsieur Abel DIUR YAV;entrepreneur et chef d’entreprise de son état milite pour le changement, le renouveau et le leadership agissant en faveur du développement de la province.
Croire qu’il livre une guerre contre la candidature de monsieur KYABULA relève d’une supercherie outrancière comme si le Haut-Katanga était devenu une chasse gardée de certaines personnes.