Cette situation est à la base des embouteillages souvent monstrueux constatés au centre-ville de Lubumbashi et contre lesquels veulent lutter les autorités urbaines. Déjà le matin du vendredi 25 février, la situation semblait maitrisée grâce à la présence des éléments de l’ordre, mais le problème reste comment définitivement mettre fin à ces mauvais stationnements qui prennent de l’ampleur; les autorités réussissent à mettre fin au mauvais stationnement pour une circulation normale
Les mauvais stationnements des automobilistes demeurent un défi au centre-ville de Lubumbashi. Ils constituent l’une des causes des embouteillages déplorés par plusieurs Lushois, et ce, malgré les efforts fournis par les autorités de la ville. Le matin du vendredi 25 février 2022; quelques éléments de l’ordre ont été déployés, mais sans grand effet sur le terrain.
Aux premières heures d’hier vendredi, l’on pouvait voir quelques agents de la Police de circulation routière et de la mairie déployés dans différents endroits pour interdire les stationnements illicites. Jusqu’à 10h, les conducteurs qui d’habitude, stationnent au niveau de la station shalina , étaient contraints d’aller dans leurs arrêts respectifs reconnus dans le but de libérer la voie, avant que la situation ne redevienne à la normale en début d’après-midi.
Les conducteurs stationnent de nouveau pendant que sur le lieu, l’on ne peut encore apercevoir les agents de l’ordre qui prennent de l’ampleur à lubumbashi.
Quels moyens appliqués pour des solutions définitives, puisque pour nombreux, la mobilisation éphémère vécue dans la matinée du vendredi, ressemble plus à un essai qu’à une mesure et reflète moins de volonté et de détermination à la manière de la situation que l’on vit depuis quelques années, avec le marché pirate contre lequel l’hôtel de ville a montré ses limites.
Du même au même, car si ça continuait, il y en a qui prédisent déjà de vivre une forme de familiarité solidaire entre chauffeurs et policiers sans impact sur le terrain. Mais les lushois souhaiteraient que cette fois
Les véhicules s’arrêtent librement sur la route.
Devant la station Total, ils font la file à l’attente des clients comme d’habitude. Alors que, à quelques mètres, vers shalina, les taximen s’arrêtent sur la chaussée pour déposer leurs clients.
Jean MBAYO