En ce mois de mars dédié aux femmes, il apparaît plus crucial que jamais d’investir dans la population, et en particulier dans les femmes et dans les filles.
Il est pourtant indispensable d’investir dans l’éducation et la santé des filles, de donner aux femmes les moyens de leur autonomie et de les faire bénéficier d’une protection sociale pour augmenter leur résilience aux crises.
L’enjeu économique est de taille : en favorisant la participation des femmes à la vie active, en améliorant leur productivité et en promouvant l’entrepreneuriat féminin, l’économie mondiale s’enrichirait de plusieurs milliards de dollars.
L’éducation des filles est, en matière de développement, le meilleur des investissements qu’un pays puisse réaliser. L’intellectuel ghanéen James Emman Aggrey ne s’y pas trompé qui affirmait dès les années 20 : «Éduquer un homme, c’est éduquer un individu. Éduquer une femme, c’est éduquer toute une nation ».
Ce que l’on appelle le « capital humain », à savoir les compétences, les connaissances et les savoir-faire de la population, représente désormais une part prépondérante de la richesse mondiale, bien supérieure à celle du capital produit et du capital naturel.
Mais cette part de richesse humaine est inégalement répartie à travers le monde et d’autant plus grande qu’un pays est développé. Passé ce constat, comment les pays en développement peuvent-ils accroître leur capital humain et se préparer aux exigences technologiques de demain ? Difficile le savoir.
En RDC, l’ex first Lady et sa belle sœur ou sœur jumelle de l’ancien président Joseph Kabila sont non seulement engagées mais déterminées pour porter haut la cause de la femme congolaise.
Olive Lembe et Jaynet Kabila décident d’accompagner la femme à travers leurs structures respectives à savoir : Initiative Plus et Fondation Laurent Désiré Kabila.
Ces défenseurs des droits de la femme n’entendent pas ménager aucun effort dans la formation de celle-ci car c’est sur elle que « repose l’avenir de la nation ».
Par Iweb Magazine RDCongo/Gédéon ATIBU